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25
'10
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HMS Industrial Networks AB
Interface CANopen sur une puce
L'interface CANopen enfouie réduit les efforts de développement jusqu'à 70%
HMS Industrial Networks étend sa famille Anybus-IC avec un nouvel Anybus-IC pour CANopen. Ce module est une interface CANopen miniature, mais néanmoins puissante, dont la conformité à la norme CANopen est certifiée par l’association des utilisateurs. Ce nouveau composant étend la famille Anybus-IC d’HMS, qui comprend déjà des solutions Profibus, Profinet, DeviceNet, EtherNet/IP et Modbus-TCP, interchangeables.
Dans un circuit unique de seulement 8 cm2, l'Anybus-IC renferme le microprocesseur HMS NP30 à contrôleur CAN intégré et pile logicielle esclave CANopen. Ce circuit permet d’éviter jusqu’à 70% des efforts de développement nécessaires pour concevoir une interface CANopen. De plus, l’encombrement et la puissance nécessaires sont réduits au minimum. Ainsi, même les dispositifs les plus simples, comme des lecteurs de codes barres ou des démarreurs, peuvent être équipés d'une interface CANopen à moindre coût.
L'Anybus-IC se présente en boîtier DIL 32 pins et ne nécessite qu’une seule alimentation 5 volts, 150 mA. Il fonctionne comme un esclave CANopen standard, et supporte la version 4 du profil DS 301. Jusqu'à 144 octets de données sont autorisés en entrée et en sortie. L'Anybus-IC contient tout le matériel et le logiciel nécessaires à n'importe quel dispositif d'automation, pour communiquer à travers un réseau CANopen. Seul un connecteur doit lui être ajouté.
Utilisé dans des dispositifs intelligents dotés de leur propre microcontrôleur, l'Anybus-IC se raccorde par l'intermédiaire d'une interface TTL série rapide. Le circuit gère l’ensemble du protocole CANopen, et décharge le microprocesseur de toutes les tâches de communication pour lesquelles l’aspect temps est critique. Pour pouvoir être utilisé dans des dispositifs d'automation simples, comme par exemple des électrovannes qui ne disposent d’aucun microprocesseur, l'Anybus-IC est doté d’un registre à décalage et peut commander jusqu'à 128 entrées ou sorties directes.
Tous les membres de la famille Anybus-IC sont interchangeables, et offrent aux fabricants d’appareils un moyen simple et efficace de connecter de petits appareils à n’importe quel bus terrain ou à un réseau Ethernet industriel, au prix d’un développement minime.
Dans un circuit unique de seulement 8 cm2, l'Anybus-IC renferme le microprocesseur HMS NP30 à contrôleur CAN intégré et pile logicielle esclave CANopen. Ce circuit permet d’éviter jusqu’à 70% des efforts de développement nécessaires pour concevoir une interface CANopen. De plus, l’encombrement et la puissance nécessaires sont réduits au minimum. Ainsi, même les dispositifs les plus simples, comme des lecteurs de codes barres ou des démarreurs, peuvent être équipés d'une interface CANopen à moindre coût.
L'Anybus-IC se présente en boîtier DIL 32 pins et ne nécessite qu’une seule alimentation 5 volts, 150 mA. Il fonctionne comme un esclave CANopen standard, et supporte la version 4 du profil DS 301. Jusqu'à 144 octets de données sont autorisés en entrée et en sortie. L'Anybus-IC contient tout le matériel et le logiciel nécessaires à n'importe quel dispositif d'automation, pour communiquer à travers un réseau CANopen. Seul un connecteur doit lui être ajouté.
Utilisé dans des dispositifs intelligents dotés de leur propre microcontrôleur, l'Anybus-IC se raccorde par l'intermédiaire d'une interface TTL série rapide. Le circuit gère l’ensemble du protocole CANopen, et décharge le microprocesseur de toutes les tâches de communication pour lesquelles l’aspect temps est critique. Pour pouvoir être utilisé dans des dispositifs d'automation simples, comme par exemple des électrovannes qui ne disposent d’aucun microprocesseur, l'Anybus-IC est doté d’un registre à décalage et peut commander jusqu'à 128 entrées ou sorties directes.
Tous les membres de la famille Anybus-IC sont interchangeables, et offrent aux fabricants d’appareils un moyen simple et efficace de connecter de petits appareils à n’importe quel bus terrain ou à un réseau Ethernet industriel, au prix d’un développement minime.
