GA Smart Building ouvre les portes du chantier de son futur siège social, une opération exemplaire en termes de construction « hors-site »

Pionnier du hors-site en France, le Groupe considère en effet que son approche constructive constitue le futur de l’immobilier et de la construction, un secteur qui n’a toujours pas fait sa révolution industrielle et répond à de nombreux enjeux.

L’industrialisation de la construction permet une parfaite qualité d’exécution. L’ensemble des composants du bâtiment ont été modélisés en BIM, la maquette 3D du bâtiment qui permet de créer un avatar numérique du projet. Eléments de structure, façades, équipements de confort et même modules sanitaires ont ensuite été produits dans les usines françaises du Groupe. Ils ont été acheminés et sont en cours d’assemblage « sur site ».

Le talentueux duo d’architectes Takaharu Tezuka et Orash Montazami a imaginé le futur siège social de GA Smart Building avec la conviction que le recours à la construction hors-site est au service de la qualité architecturale et du confort des utilisateurs. « Nous avons joué avec les procédés hors-site de GA pour apporter une réponse contextuelle qui met la nature et le vivant au centre de notre réflexion urbaine et architecturale. Les ponctuations et volumétries dessinent les séquences d’une architecture aux lignes élancées, dansantes qui s’affirme fièrement à l’échelle d’un nouveau quartier de la « Piste des géants » et engage un dialogue contemporain avec « la Halle des Machines » et son univers artistique étonnant. » explique Orash Montazami, fondateur de Studio Montazami.




Grâce à ce mode constructif novateur, la diminution de l’impact carbone est prise en compte tout au long du processus constructif.

Le Groupe met en œuvre des solutions techniques et technologiques qui permettent d’adapter son futur siège au climat de demain, tout en continuant d’atténuer son impact carbone. De plus, l’hybridation des énergies locales, renouvelables et bas carbone, avec un pilotage prédictif grâce à l’intelligence artificielle et au machine learning, permet à l’ensemble de viser l’excellence énergique. Ainsi construits, les bureaux de GA seront alignés avec la RE2020, au seuil 2025, et atteindront un niveau de performance énergétique conforme à celui qui est attendu en 2050 par le décret tertiaire.

Le hors-site est en outre un atout pour le réemploi des matériaux. Le futur siège social de GA Smart Building, opération pilote du label réemploi Circolab, fait appel au réemploi pour ses faux planchers, moquettes, gardes corps, peintures, isolants acoustiques, équipements de modules sanitaires… En pensant le démontage et le remontage dès la phase de conception, le modèle constructif hors-site permet au bâtiment de devenir une banque de matériaux.

Le futur siège social de GA Smart Building sera achevé début 2024, soit après 14 mois seulement de travaux, la réduction des délais étant un atout majeur du hors-site, en plus de la réduction des nuisances, des déchets, de la congestion des villes.

Cette journée de visites se tenait au lendemain du lancement de l’association des acteurs du hors-site français destinée à fédérer l’ensemble des acteurs de la filière et de la signature d’une charte par des maîtrises d’ouvrage publiques qui souhaitent s’engager publiquement en matière de construction hors-site d’ici 2031.

Sébastien Matty, Président de GA Smart Building, a pris la parole pendant l’événement : « Avec le hors-site, le bâtiment va faire sa révolution industrielle, autant dans la construction neuve que dans la rénovation. La crise actuelle nous montre que, pour construire et rénover demain, nous avons besoin de basculer dans une nouvelle logique : celle de la précision industrielle, de l’économie de matériaux et des chantiers courts ».

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